Dans cet article, retrouvez notre parcours au jour le jour (sur 200 jours de voyage) et en direct au travers d'une image... Volontairement nous …
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"J'ai des envies de voyage... ...l'Océanie, Bora Bora, les vahinés... Tu connais ?" Qui n'a pas rêvé un jour de partir? Parcourir le monde en prenant son …
Après un bref passage sur l’île de Mykonos, aéroport oblige, nous décidons de prendre le bateau pour Tinos. De Mykonos, l’accès est très simple. Arrivé à l’aéroport, un bus public nous transporte directement et en tout juste 30 mn sur le « Newport » de Mykonos. Le port est vaste et à la mesure de la notoriété de cette île. Pas moins de cinq quais permettent l’accostage des ferries.
La traversée est courte, environ une demi-heure, juste le temps de nous mettre dans l’ambiance des Cyclades. L’air est doux et la lumière magnifique. Le pied à peine posé sur le sol de Tinos, notre hôte nous attend pour nous mener à notre location. L’accueil est chaleureux, John, notre chauffeur et père de Stella, la propriétaire, nous indique les bons plans en restaurant et ceux à éviter. Le studio est situé en plein centre-ville dans une ruelle au calme. D’emblée, la ville nous plaît. Pas de grande chaîne hotellière, le port accueille des bateaux de pêche, et sur le quai, des marins préparent les filets pour la sortie du lendemain. Dans le prolongement, quelques caboteurs sont amarrés, prêts à débarquer leur marchandise.
Les îles des Cyclades se prêtent particulièrement bien à la randonnée. De très nombreux sentiers traversent chaque île de part en part, bien souvent en empruntant les anciennes « routes » reliant les principaux villages. Afin de construire nos trajets, nous avons utilisé les sources suivantes :
Nous avons placé notre séjour sous le signe de la diversité, randonnée en campagne, découverte des villages, plage et approche culinaire…
L’ïle de Tinos est connue pour ces nombreux villages, nous décidons de commencer par une ballade en partant de la ville. Un sentier bien balisé monte au village de Ktikados pour descendre ensuite vers Kionia. Voici un extrait de la carte des sentiers de randonnée de Tinos (vendue en librairie). Cette carte est très bien faite tout comme le balisage des sentiers auxquels la carte se réfère. Un numéro bien visible sur la carte et sur le sentier permet de se repérer facilement.
Anicette…
D’une distance de 5,5 km, nous avons réalisé cette randonnée sur une durée totale de 3h30, pauses comprises.
Relativement courte, cette randonnée est très agréable et facile d’accès. En partant de Falatados, le sentier traverse des paysages variés de cultures en terrasse et un ruisseau dont coulait encore un peu d’eau lors de notre passage. La fin du parcours traverse le joli petit village de Mirsini. La région est réputée pour ces paysages composés de chaos rocheux.
La traversée du ruisseau Livada en vidéo…
Info : Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…
Après le bateau, la bicyclette et le scooter, nous ne pouvions pas finir notre voyage sans tester un moyen de transport très courant à Cuba, le cheval ! C’est donc sur le dos de Mojito 😀 et de Moro que nous partons à la découverte des Mogotes dans la région de Vinales. C’est ici que l’on produit le fameux tabac pour la fabrication du cigare cubain ! Nous ressentons un peu de nostalgie car le paysage nous rappelle celui rencontré en Birmanie et aussi au Vietnam. En effet, les mogotes sont des formations karstiques de type « pain de sucre » (souvenez-vous de Ninh Binh au Vietnam). La campagne est belle ou l’on trouve les champs de tabac et de manioc parsemés de palmiers royaux. Certains habitats s’intègrent particulièrement bien avec des toitures en feuilles de palmier. Nous avons rencontré des producteurs de tabac et visité leur séchoir (petite info : 90% de la production est « donnée » à l’Etat). Le travail du sol se fait toujours par traction animale et ce n’est pas du folklore touristique ! A Vinales, nous sommes arrivés jour de carnaval. Ambiance de fête foraine où le look et l’attitude branchés des jeunes contrastent avec les attractions qui semblent sorties d’un film de Monsieur Hulot. Groupes de musique tous excellents accompagnés du non moins excellent rhum Havana, les cubains savent faire la fête ! Et ça dure jusqu’à pas d’heure… Pas cool pour le sommeil mais on leur pardonne car l’on comprend au cours de nos discussions que les occasions de se détendre ne sont pas légions, la pression sur la population reste forte…
A CHEVAL AUTOUR DES MOGOTES DE VINALESAprès le bateau, la bicyclette et le scooter, nous ne pouvions pas finir notre…
Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Montag, 26. März 2018
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C’est la première fois de notre vie que nous foulons une terre encore bien ancrée dans le communisme. Ainsi, tous les jours nous constatons l’existence de structures sociales et politiques disséminées dans la ville : Aide sociale, familiale, centre éducatif… avec des effigies quasi systématiques de Fidel Castro et de son compagnon de l’époque Che Guevara. A ce sujet, il est vraiment curieux de constater l’image du Che très répandue partout dans les administrations mais également dans les maisons. Nous pourrions presque l’imaginer bien vivant (encore un complot des américains qui nous fait croire à sa mort depuis plus de 50 ans !!!😉). La centralisation du pouvoir est également très marquante. Tout passe par l’Etat ou presque ! L’exemple de l’accès à l’Internet en est une illustration… La connexion au réseau est une véritable épopée et la raconter constitue un article à part entière ! Les lieux de WIFI étant limités, nous rencontrons des attroupements de gens tentant de se connecter autour de ces derniers…
Le gouvernement ouvre progressivement l’accès à l’entreprise privée, les « casa particular » en sont un exemple (l’équivalent de nos chambres d’hôtes…) mais l’Etat taxe les revenus des locations à 70%. L’accueil est très chaleureux et nous logeons souvent dans des anciennes maisons de famille où les objets témoignent de la richesse d’antan.
Les déplacements en véhicules motorisés constituent aussi une curiosité. Peu de cubains possèdent une voiture, en cause l’embargo américain semble-t-il. Les routes et autoroutes sont donc souvent désertes mais en revanche nous rencontrons de nombreux cubains sur les bords de la chaussée faisant du stop avec ou sans pesos à la main ! La charrette à cheval constitue aussi un mode de transport assez répandu… Nous avons utilisé le taxi collectivo, moyen assez pratique et parfois pittoresque car nous montons à bord d’une américaine des années 50… Un autre exemple de centralisation est le bus, nous avons réservé nos places à la gare routière où la seule compagnie d’Etat, Viazul, occupe les locaux. Ces derniers nous font penser aux espaces publics de l’ancienne Union Soviétique, une salle d’accueil avec un bureau, un fonctionnaire et une photo encadrée de Fidel ou Ernesto ou les deux ! Le sourire et la gentillesse des cubains contrastent avec la rigueur des locaux.
Enfin, Cienfuego et Trinidad sont deux villes au patrimoine historique époustouflant. Se promener dans les rues aux maisons colorées coloniales ou non est un véritable enchantement…
https://www.facebook.com/sansvalise/posts/334900587018116
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Dernière étape de notre périple, Cuba ! Après le désert d’Atacama, nous pensions avoir vécu le plus difficile en matière de connexion… Eh bien non, à Cuba c’est plus compliqué encore ! Une vraie cure de désintoxe !
Pour ce dernier parcours, nous souhaitons être au plus près de la population et pour cela, nous choisissons des chambres chez l’habitant que l’on appelle ici la « casa particular ». Pour cette première expérience, à La Havane, nous avons été chaleureusement accueillis. Nous logeons dans des bâtis d’origine coloniale, La Havane en est truffée. Le problème réside dans l’état de délabrement avancé de nombre d’entre eux. Nous savions que les cubains vivaient chichement mais nous sommes tout de même surpris par le peu de marchandises disponibles y compris dans les produits de première nécessité. Nous constatons que les cubains sont très démunis (salaire moyen mensuel 20€ !). Chaque jour, lorsque nous sortons de notre logement pour nous retrouver dans la rue, nous avons l’impression d’entrer dans un film des années 50, genre Hitchcock ! Les très nombreuses voitures américaines de ces années là y sont pour beaucoup mais également la déco des « magasins » (lorsqu’ils existent car il y en a peu) qui semblent figés dans les aménagements des années sixties. Bien souvent, les produits de base sont vendus dans des locaux à l’aménagement sommaire rappelant l’ambiance de la dernière guerre. Dans le centre de La Havane et la vieille ville, les habitants vivent dans les anciens bâtis coloniaux mais n’ayant pas le financement nécessaire pour les entretenir, ces derniers se dégradent et sont pour la plupart insalubres…
Malgré ce constat, l’ensemble dégage un charme certain par leur architecture et les couleurs variées dont ils sont recouverts. Partout dans la vieille ville, nous marchons au rythme de la salsa et autres musiques cubaines jouées par de très nombreux groupes installés dans les bars et restaurants… Voilà pour ces premières impressions…
CUBA 🇨🇺️ 🎶 🎺Dernière étape de notre périple, Cuba ! Après le désert d’Atacama, nous pensions avoir vécu le plus…
Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Dienstag, 13. März 2018
Vous avez déjà repéré notre identité… Non? Dans ce cas, retournez sur la page d’accueil, nos prénoms y sont inscrits! Enseignant et éducatrice de jeunes enfants, nous avons pris un congé sans solde pour effectuer ce voyage.