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C’est en 1975 que Saïgon est devenu Ho Chi Minh Ville mais pour les habitants elle reste Saïgon. Bruyante, stressante, étouffante ! Voici quelques-uns des superlatifs fréquemment entendus à son sujet. C’est sans doute vrai mais elle a ses raisons… Suite à la longue guerre du Vietnam, elle tente de rattraper son retard et elle y parvient mais à quel prix ! Ça construit de partout ! Les infrastructures ne suivent pas toujours et la circulation y est très difficile. Pourtant, la population reste stoïque et l’envie de vivre pleinement après les années noires se ressent fortement. En vingt ans, la ville a changé totalement de physionomie. Une française installée ici depuis 25 ans nous disait qu’à son arrivée, il n’y avait que des vélos et des pousse-pousse et les rues n’étaient pas éclairées !
Comme dans toutes les grandes villes du monde, on retrouve les quartiers plus populaires et les quartiers riches. C’est dans ces derniers que l’on peut admirer les anciennes demeures et édifices de l’époque coloniale. L’hôtel Continental, celui filmé dans « Indochine » en est un exemple. La poste centrale tout de jaune vêtue mais aussi l’église Notre-Dame construite en briques rouges de Toulouse lui donnant des airs d’église St Sernin. A côté, des tours modernes et tape-à-l’œil poussent comme des champignons…
Il faut se laisser aller en se promenant dans le dédale des ruelles des quartiers populaires. Des habitats parfois minuscules qui semblent sommairement meublés. Beaucoup de vie dans ces quartiers, sortes de villages contigües… Sur les trottoirs, des activités insolites !!
Page Facebook « HO CHI MINH VILLE MAIS SAÏGON TOUJOURS »
La suite en vidéo dans : FUREUR DE VIVRE A SAÏGON
Le plus impressionnant est sans nul doute la folle circulation et en particulier celle des deux roues et le bruit qui en résulte. Quand le feu passe au rouge, ils n’hésitent pas à envahir les trottoirs pour augmenter leur chance de passer ensuite. Piétons, poussez-vous !
Et si vous voulez prendre le bus, se munir de bouchons d’oreille car les chauffeurs sont des maniaques du klaxon !
Et puis il y a la rue Bui vien, plus connue sous le nom de « rue des routards » ! Un autre Saïgon, jeune, festif, bruyant par la musique incessante. On pense que le soir venu, les bars font un concours de décibels ! Mais quelle ambiance ! Les touristes se retrouvent ici parmi une jeunesse saïgonnaise très nombreuse. Et les coulisses d’un concours de beauté en jolie clin d’œil…
FUREUR DE VIVRE A SAÏGONLe plus impressionnant est sans nul doute la folle circulation et en particulier celle des deux roues et le bruit qui en résulte. Quand le feu passe au rouge, ils n’hésitent pas à envahir les trottoirs pour augmenter leur chance de passer ensuite. Piétons, poussez-vous !Et si vous voulez prendre le bus, se munir de bouchons d’oreille car les chauffeurs sont des maniaques du klaxon !Et puis il y a la rue Bui vien, plus connue sous le nom de « rue des routards » ! Un autre Saïgon, jeune, festif, bruyant par la musique incessante. On pense que le soir venu, les bars font un concours de décibels ! Mais quelle ambiance ! Les touristes se retrouvent ici parmi une jeunesse saïgonnaise très nombreuse. Et les coulisses d’un concours de beauté en jolie clin d’œil…
Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Mittwoch, 3. Januar 2018
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