• Un blog de voyage
  • Notre tour du monde
    • Les préparatifs
      • La réservation des billets d’avion
      • Notre itinéraire, le budget…
        • Un tour du monde en 200 jours
        • Un budget moyen de 60 €/jour pour 2
      • Le choix d’une assurance
      • Les visas
        • Avant notre départ
        • Après expérience vécue pour chaque visa…
      • Les vaccins
      • Un équipement minimaliste
    • Un jour une image!
  • Carnet de voyage
    • Asie
      • Indonésie
        • Yogyakarta « Djodja » la colorée
        • Le volcan Bromo
        • Le volcan Kawa Ijen, solfarate et masque à gaz
        • Ubud, village d’artistes et paysages de rizières
        • Gili Air, en tongs et sans moteur
        • Kuta Lombok, de l’or à tous les étages
      • Birmanie
        • Yangon!
        • Prendre le train circulaire à Yangon
        • Mawlamyaïne, colline des pagodes et bouddha couché
        • Une journée sur l’île des Ogres (Bilu Gyun pour les intimes)
        • En barque de Mawlamyaïne à Hpa An
        • En scooter dans la plaine de Hpa An
        • Ballade à vélo et traversée du lac Inlé
        • A la rencontre du peuple Intha sur le lac Inlé
        • A pieds en montagne avec Peter San
      • Thaïlande
      • Cambodge
      • Vietnam
      • Singapour
    • Oéanie
      • Melbourne – Australie
      • Nouvelle-Zélande
  • Bilans par pays
    • Asie le bilan
      • Indonésie le bilan
  • Accueil
  • Qui sommes nous?

  • Un blog de voyage
  • Notre tour du monde
    • Les préparatifs
      • La réservation des billets d’avion
      • Notre itinéraire, le budget…
        • Un tour du monde en 200 jours
        • Un budget moyen de 60 €/jour pour 2
      • Le choix d’une assurance
      • Les visas
        • Avant notre départ
        • Après expérience vécue pour chaque visa…
      • Les vaccins
      • Un équipement minimaliste
    • Un jour une image!
  • Carnet de voyage
    • Asie
      • Indonésie
        • Yogyakarta « Djodja » la colorée
        • Le volcan Bromo
        • Le volcan Kawa Ijen, solfarate et masque à gaz
        • Ubud, village d’artistes et paysages de rizières
        • Gili Air, en tongs et sans moteur
        • Kuta Lombok, de l’or à tous les étages
      • Birmanie
        • Yangon!
        • Prendre le train circulaire à Yangon
        • Mawlamyaïne, colline des pagodes et bouddha couché
        • Une journée sur l’île des Ogres (Bilu Gyun pour les intimes)
        • En barque de Mawlamyaïne à Hpa An
        • En scooter dans la plaine de Hpa An
        • Le lac Inlé en cinq jours
        • Ballade à vélo et traversée du lac Inlé
        • A la rencontre du peuple Intha sur le lac Inlé
        • A pieds en montagne avec Peter San
      • Thaïlande
        • กรุงเทพมหานคร, Venise de l’Asie
        • Krabi sur la mer d’Andaman
        • Sur les pas de James Bond dans la baie de Phang Nga
        • A la rencontre des ethnies minoritaires
        • Chiang Mai en novembre
        • Into the mountain, let’s go to Doi Inthanon
        • Black house de son vrai nom Baandam Museum
        • White temple de son vrai nom Wat Rong Khun
        • Night Bazaar à Chiang Rai!
        • Au coeur du triangle d’or, tea and coffee
      • Cambodge
        • Et ça continue, Angkor et encore…
        • Tonlé Sap, le plus grand lac d’Asie du sud est
        • Quatre jours à Organik farm
        • Phnom Penh et la tragédie cambodgienne
        • Poivre et sel à Kampot et Kep
      • Vietnam
        • Au coeur du delta du Mékong
        • Ho CHi Minh Ville mais Saïgon toujours
        • Hoi An : lampions, lampions et lampions…
        • Ninh Binh, la baie d’Ha Long terrestre…
        • … Et baie d’Ha Long maritime
        • De Hanoï…
      • Singapour
        • … à Singapour
    • Oéanie
      • Melbourne – Australie
        • Marvellous Melbourne!
      • Nouvelle-Zélande
        • Péninsule de Banks
        • Tekapo, Pukaki, Wanaka, Wakatipu…
        • Rob Roy, un glacier néo-zélandais
        • Remonter par la côte sud et la côte est
        • Tongariro Alpine crossing
        • Mélodie en sous-sol et festival de couleurs à Rotorua
        • Nouvelle-Zélande, pays des extrêmes
    • Amérique du sud
      • Chili
        • De Santiago à Valparaiso
        • Descendre la vallée de Elqui à vélo
        • Découvrir le désert d’Atacama
    • Amérique du nord
      • Cuba
        • ️Cuba 🎶 🎺
        • De la Havane à la Trinidad
        • A cheval autour des mogotes de Vinales
    • Europe
      • Grèce – Les Cyclades
        • Tinos, la sereine
        • Paros, la féminine
        • Naxos, la masculine
  • Bilans par pays
    • Asie le bilan
      • Indonésie le bilan
  •    
  • Client Portal
  • Non classé

    Un jour une image!


    Dans cet article, retrouvez notre parcours au jour le jour (sur 200 jours de voyage) et en direct au travers d'une image... Volontairement nous …

  • Asie  / Birmanie  / Carnet de voyage  / Non classé

    Mawlamyaïne, colline des pagodes et bouddha couché


    Quatrième ville du pays, l'ancienne Moulmein est bordée par le fleuve Salouen à l'ouest et les collines à l'est. Le paysage est grandiose et l'on …

  • Asie  / Birmanie  / Carnet de voyage  / Non classé

    Une journée sur l’île des Ogres (Bilu Gyun pour les intimes)


    C’est la grosse île en face de Mawlamyaïne par laquelle on accède par un pont (les guides indiquent une traversée par bateau mais ça n’a …

  • Asie  / Birmanie  / Carnet de voyage  / Non classé

    En barque de Mawlamyaïne à Hpa An


    Lorsque l'on décide de passer quelques jours à Mawlamïane, la découverte de la plaine de Hpa An située à quelques encablures de cette dernière est …

  • Asie  / Birmanie  / Carnet de voyage  / Non classé

    Yangon!


    Il est difficile de trouver un titre évocateur à cette ville tentaculaire. Au premier abord, nous avons eu envie de fuir et dans le même …

  • Asie  / Carnet de voyage  / Indonésie  / Non classé

    Ubud, village d’artistes et paysages de rizières


    Très prisée par les touristes, Ubud est une petite ville animée, située au sud de Bali à environ 20 kilomètres de la côte est. Sur …

  • Non classé

    Un blog de voyage


    "J'ai des envies de voyage... ...l'Océanie, Bora Bora, les vahinés... Tu connais ?" Qui n'a pas rêvé un jour de partir? Parcourir le monde en prenant son …


Amérique du sud  / Carnet de voyage  / Chili
Découvrir le désert d’Atacama

Posted On 28 août 2018

Info :  Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…

 

Nous avons passé quatre jours dans ce désert considéré comme le plus aride du monde. C’est notre première expérience de vie dans ces milieux extrêmes et cela nous a marqué. Au premier abord, peu attirés par ces grands espaces désertiques, notre point de vue s’est peu à peu modifié au fur et à mesure des découvertes quotidiennes. Tout d’abord c’est l’immensité des lieux qui impressionne, notre regard se perd à l’infini. La grande diversité des couleurs, contrastes et camaïeux fixent l’attention. Et puis l’incomparable silence du désert tout juste troublé par le chant d’un passereau. Une question nous vient tout de suite à l’esprit, mais comment fait-il pour vivre dans cet environnement ?
El minuto cultural… En fait ce qui nous semble totalement dépourvu de vie, ne l’ai finalement pas tant que cela ! Si l’on s’y attarde un peu, nous découvrons une flore et une faune, certes fragiles, mais qui ont développé des stratégies pour exercer les fonctions vitales…
Il ne pleut quasiment jamais dans ce désert mais il est entouré de volcans la plupart inactifs qui dépassent les 5000 m d’altitude. Ces derniers reçoivent des précipitations sous forme de neige qui alimentent des nappes phréatiques. L’eau, chargée en sels minéraux provenant des volcans, alimente des «Lagunas ». Par la chaleur, l’eau s’évapore et les sels minéraux s’accumulent laissant place à des espaces d’une texture étonnante aux couleurs variées, les « Salar ». Ainsi le Salar d’Atacama comporte une épaisseur de 1,4 km d’un mélange de sels minéraux ! Il en résulte des écosystèmes complexes où l’on trouve même des flamants roses à 4300 mètres d’altitude !
Les humains aussi ont dû s’adapter pour vivre ici. Disséminés çà et là, des oasis, créés par l’homme par d’astucieux réseaux d’irrigation, ont permis l’installation de mignons petits villages. San Pédro de Atacama fait partie de ceux-là… Un seul bémol dans tout cela, l’accueil par les habitants de ce dernier n’est pas des plus chaleureux. Pour la première fois de notre voyage, nous rencontrons une population qui semble blasée par les touristes toujours plus nombreux. Ce sont pour la plupart d’anciens mineurs reconvertis dans le tourisme dont la manne financière leur fait peut-être tourner la tête 🙃…

 

DÉCOUVRIR LE DÉSERT D’ATACAMANous avons passé quatre jours dans ce désert considéré comme le plus aride du monde. C’est…

Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Donnerstag, 8. März 2018


Continue Reading
No Comment


Amérique du sud  / Carnet de voyage  / Chili
Descendre la vallée de Elqui à vélo

Posted On 28 août 2018

Info :  Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…

 

Vous êtes nombreux à nous demander des nouvelles… Nous sommes toujours là mais actuellement stationnés dans le désert d’Atacama, la connexion internet est très difficile. Nous déployons quelques stratégies pour vous informer…
Continuons donc notre parcours après Valparaiso…
En remontant vers le nord du Chili, nous avons décidé de faire une halte à Vicuna. Petite ville située en aval d’une vallée réputée au Chili, la vallée de Elqui. Une oasis au cœur des montagnes arides ! Notre première idée était de la parcourir en bus, de village en village, mais la rencontre de Adeline et Lincoln, un couple franco-chilien, fût déterminante et ces derniers nous ont convaincu de tenter l’expérience à vélo. Ils ont créé leur petite entreprise « Elkimagic » il y a 6 ans. Celle-ci propose un service de prêt de vélos avec une prestation originale qui consiste à transporter les clients au point le plus haut de la vallée située à 60 km de Vicuna. Il ne reste plus qu’à profiter tranquillement de la descente… Voici donc en images notre petit périple qui nous a complètement enthousiasmé ! Il faut dire que le secteur a quelques atouts : 300 jours de soleil par an, quelques jours de pluie, un ciel considéré comme le plus pur du monde d’où la présence de très nombreux observatoires astronomiques ! L’eau est évidemment un enjeu majeur mais la vallée dispose d’une petite rivière alimentée toute l’année par la neige et les glaciers des montagnes de la cordillère. Les chiliens ont donc mis en place un astucieux système d’irrigation qui permet de tirer le meilleur parti de la vallée. Même la vigne est irriguée ! Elle produit un vin de muscat lui-même transformé en une eau-de-vie réputée, le Pisco ! De nombreux vergers produisent des fruits de qualité, grenades, oranges, citrons, avocats et même des copoas (cactus). Il en résulte des paysages magnifiques offrant des contrastes saisissant !
Et à bientôt dans le désert d’Atacama…

 

DESCENDRE LA VALLEE DE ELQUI A VELOVous êtes nombreux à nous demander des nouvelles… Nous sommes toujours là mais…

Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Montag, 5. März 2018


Continue Reading
No Comment


Amérique du sud  / Chili
De Santiago à Valparaiso

Posted On 28 août 2018

Info :  Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…

 

Capitale du Chili, Santiago est notre première destination. Cette grande ville de 7 millions d’habitants représentant à elle seule 30 % de la population du Chili nous a tout de suite mis en situation. Pour y sentir le pouls, il faut aller sur la Plaza des Armas ou se retrouvent les chiliens dans une ambiance bon enfant, joueurs d’échecs, prédicateurs, musiciens et danseurs se partagent celle belle place ombragée. Réputée pour la fraîcheur des produits de la mer, nous nous rendons dans le marché couvert aux poissons où se côtoient étals et restaurants, ça crie, ça interpelle, nous aimons cette ambiance… Un antique funiculaire permet d’accéder à une colline qui surplombe Santiago, idéale pour découvrir l’étalement urbain d’une ville coincée entre les montagnes.
Nous nous dirigeons ensuite sur Valparaiso. On dit que cette ville aux 47 collines est unique en son genre. On veut bien le croire car durant ces quelques jours, nous n’avons eu de cesse de la photographier. Des funiculaires et ascenseurs permettent d’accéder aux principales collines recouvertes de maisons colorées. Le street art se révèle partout ! Des fresques impressionnantes recouvrent les murs. Impossible d’en réaliser un portfolio exhaustif… Choisir quelques photos s’avère un exercice compliqué. Ici aussi les gens sont dans la rue mais contrairement aux pays asiatiques, l’animation commence peu avant 10 h du matin et se termine très tard la nuit, à l’espagnol en fait ! 😃

 

DE SANTIAGO A VALPARAISOCapitale du Chili, Santiago est notre première destination. Cette grande ville de 7 millions…

Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Sonntag, 25. Februar 2018


Continue Reading
No Comment


Carnet de voyage  / Nouvelle-Zélande  / Oéanie
Nouvelle-Zélande, pays des extrêmes

Posted On 28 août 2018

Info :  Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…

 

Notre séjour en NZ se termine ! Voici un dernier article sur quelques éléments qui nous ont marqué mais dont nous avons peu parlé. Les deux îles bénéficient d’un climat différent et ça se voit… Le climat subtropical de l’île du nord a permis l’installation d’une végétation étonnante. Ce qui est, pour nous, le plus marquant est l’omniprésence de la fougère arborescente qui créée une ambiance très particulière dans les forêts traversées. Nous avons découvert aussi un arbre endémique de la Nouvelle-Zélande, le Kauri, vénéré par les Maoris. Il est gigantesque et vit très longtemps. On parle de 4000 ans ! Le plus vieux que l’on a rencontré a tout de même 1200 ans ! Se placer près de lui, le toucher et contempler la cime nous amène à une certaine humilité… Les forêts de séquoias géants sont également très impressionnantes.
Nous avons beaucoup apprécié les côtes de l’île du nord, le Coromandel, par exemple, présente de vastes prairies jusqu’au bord des falaises puis tombent dans l’océan traversées par de charmantes petites routes en lacet. Paysage bucolique et paisible, sensation accentuée par la lumière douce du matin…
Enfin, nous avons peu parlé des villes et villages. De nombreuses rues des villes rappellent l’organisation de nos galeries marchandes et font penser davantage à des stations de sports d’hiver. Il y a des bâtis anciens mais ils dépassent rarement les 200 ans. En campagne, ces derniers sont quasi exclusivement des cottages en bois peint avec des toits en tôle. En ville, on trouve des bâtis en brique et en bois aux façades typiques…
Un pays des extrêmes ! A la fois une nature sauvage, de grands espaces naturels surprenants mais aussi occupés par une agriculture intensive. Ici, la ferme des 1000 vaches ne semble pas un tabou ! Par ailleurs une société très organisée, à la pointe de la technologie et du business ! Les activités sportives hyper branchées sont très représentées !
Par notre fonctionnement plus indépendant, nous avons eu peu de contact avec les Néozélandais. La vie est chère et les loisirs « classiques » sont peu accessibles pour un budget de voyageur… Notre objectif d’aller à la rencontre des peuples a été plus difficile à atteindre. On se rattrapera par la suite…

 

NOUVELLE-ZÉLANDE, PAYS DES EXTRÊMES ?Notre séjour en NZ se termine ! Voici un dernier article sur quelques éléments qui…

Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Samstag, 17. Februar 2018

 


Continue Reading
No Comment


Carnet de voyage  / Nouvelle-Zélande  / Oéanie
Mélodie en sous-sol et festival de couleurs à Rotorua

Posted On 28 août 2018

Info :  Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…

Avant de devenir une attraction touristique, les Maoris ont utilisé, durant des siècles, cette ressource inépuisable que sont les sources chaudes. Mais où trouve-t-on ces merveilles de la nature ?
En fait, si la ville de Rotorua en concentre à elle seule l’essentiel, on en trouve aussi ailleurs sur l’île du nord y compris sur une plage dans le Coromandel ! A la pelle ou à la main, les adultes s’en donnent à cœur joie ! Mais revenons un peu à notre peuple Maori… Nous avons découvert, un peu par hasard, la commune de Ohinemutu qui jouxte Rotorua. Il s’agit d’un village Maori qui a su conserver sa culture sans devenir un business touristique. Car il faut le dire, de nombreuses attractions existent pour faire connaître ce peuple mais nous trouvons que cela relève davantage du folklore. Ici, rien de tout cela ! Les habitations s’organisent autour de bâtiments publics et religieux. L’architecture y est assez typique ! On retrouve la fameuse maison de réunion… En déambulant dans ce village, nous découvrons de très nombreuses volutes de vapeur sortant du sol, ce sont les sources chaudes ! Vraiment chaude, voire brûlante puisque l’eau est bien souvent à 100°C ! Les Maoris s’en servaient pour faire la cuisine en immergeant carrément les aliments dans celle-ci. En d’autres lieux autour de la ville, des ruisseaux d’eau chaude dans lesquels on peut se prélasser, d’autant plus que « beau temps » nous a lâchement quitté laissant la place à « nuages gris et pluie » !
Enfin, Rotorua est surtout, et avant tout, connu pour être la plus grande zone d’activité thermale de la région de Taupo. Sur plusieurs km² nous découvrons des cratères, des piscines naturelles d’eau et de boues chaudes, des fumerolles et même des geysers. Une grande variété de couleurs complètement naturelles due aux composants chimiques : soufre, arsenic, oxyde de fer, manganèse…
Et bientôt, une vidéo à suivre…

 

https://www.facebook.com/sansvalise/posts/321152045059637

 

https://www.facebook.com/sansvalise/videos/322783551563153/


Continue Reading
No Comment


Carnet de voyage  / Nouvelle-Zélande  / Oéanie
Tongariro Alpine crossing

Posted On 28 août 2018

Info :  Cet article est une copie du post publié sur Facebook. Il sera étoffé ultérieurement… Par contre, si vous avez besoin d’infos, n’hésitez pas à nous contacter via « commentaires » en fin d’article ou sur notre page Facebook ou encore par cette adresse mail sansvalise@gmail.com . Nous répondons quotidiennement à vos messages…

 

C’est le nom donné à une randonnée très connue sur l’île du nord de la Nouvelle-Zélande. Nous avons décidé de relever le défi en traversant une chaîne volcanique encore en activité. Vingt kilomètres d’une marche dans un décor quasi lunaire. Par avance nous savions qu’elle était très touristique. Ce n’est rien de le dire ! Même en partant assez tôt vers 7h, déjà une file ininterrompue de marcheurs (mais pas forcément Macronistes 😉) ! Mais pourquoi tout ce monde ? La Terre du Milieu y est peut-être pour quelque chose… C’est la région du Mordor paraît-il. Bon, ça c’est Le Seigneur des anneaux !
Sinon, il s’agit d’un volcan le Ruapehu, de son vrai nom, qui culmine à 2797 m et dont la dernière éruption a eu lieu en 1975. A côté, deux autres volcans dont les sommets sont un peu moins hauts et dont l’activité semble plus sage aussi.
Nous traversons donc des champs de lave figée dans la caldera. Cela nous rappelle le volcan Bromo en Indonésie (ou encore Le Teide aux Canaries). Puis, après avoir atteint le sommet du Red Crater à 1886m, dans le brouillard, le paysage s’ouvre sur Emerald Lakes. Trois petits lacs turquoise qui se détachent dans un environnement ou l’ocre domine. Autour de ces merveilles, des solfatares, preuves d’une activité volcanique bien réelle. Des fumerolles s’échappent des flancs des cratères au bord des lacs offrant un décor presque irréel et l’on comprend l’intérêt des réalisateurs de film de cinéma pour ces paysages. Ça sent l’œuf pourri mais ici pas de danger d’asphyxie comme ça pouvait être le cas au Kawa Ijen en Indonésie. La descente est moins spectaculaire mais offre cependant un point de vue exceptionnel sur le lac Taupo. La ballade se termine dans une forêt à la diversité étonnante, mélange de feuillus et de conifères aux troncs couverts de mousse et parsemées de fougères arborescentes au port gracieux.

 

TONGARIRO ALPINE CROSSINGC’est le nom donné à une randonnée très connue sur l’île du nord de la Nouvelle-Zélande. Nous…

Gepostet von Sansvalise – blog de voyage am Freitag, 9. Februar 2018


Continue Reading
No Comment

2
Newer Posts Older Posts
  • Planificateur à contresens : notre itinéraire


    Cet itinéraire a été créé à l'aide du site Le planificateur de voyages
  • Suivez nous sur…

       

  • A propos de nous

    Vous avez déjà repéré notre identité… Non? Dans ce cas, retournez sur la page d’accueil, nos prénoms y sont inscrits! Enseignant et éducatrice de jeunes enfants, nous avons pris un congé sans solde pour effectuer ce voyage.