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Parmi les nombreux paysages originaux de Nouvelle-Zélande, les glaciers font partis des incontournables. Le Rob Roy est l’un des moins connus et pourtant il est très apprécié des randonneurs. Nous l’avons fait et ce sera l’un des plus beaux souvenirs de l’île du sud. Tout d’abord, il se mérite par la route d’accès, enfin parlons plutôt d’une piste en gravier. Trente kms d’un chemin bosselé où le campervan semblait se disloquer à chaque trou ! Papi Lucky a bien failli prendre définitivement sa retraite ! Après 2h de ce trajet épique, nous partons à la rencontre de Rob Roy.
Une première partie pépère dans les prairies où serpente une magnifique rivière que l’on traverse par un pont suspendu. Puis vient la grimpette dans une forêt de hêtres argentés (espèce endémique de NZ) aux troncs biscornus dont le sol est couvert de nombreuses espèces de fougères. Cela nous rappelle la forêt de Brocéliande et on s’attend à croiser Merlin l’enchanteur. Nous préférerions rencontrer Kea, le seul perroquet des montagnes au monde et espèce endémique (encore !) de Nouvelle-Zélande présent sur le secteur. Dommage ! Kea ne se montrera pas et il n’en restera qu’une image (photo du musée Te Papa à Wellington).
Au loin, nous apercevons une partie du glacier. En bas, le torrent gronde. Au bout de deux heures, la forêt laisse la place à un chaos de rochers, de pelouses rases et de buissons. Le glacier apparaît d’un coup ! Fantastique ! Trois rivières de glace bleutée s’épanchent sur la montagne d’où jaillissent des torrents qui tombent en cascade. On ne se lasse pas de contempler ce spectacle mais difficile de le restituer en image photo ! Le temps d’un pique-nique et il faut déjà redescendre…
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